La surveillance généralisée se précise. Le 3 juin dernier, un rapport présenté au Sénat a défendu la mise en place d’une plateforme de collecte d’informations numériques en cas de nouvelle crise sanitaire… pour prétendument défendre les libertés. Nous évoquerons ensuite le risque de faillite qui touche de nombreuses entreprises avec la fin des aides de l'Etat. Et puis notre désormais traditionnelle rubrique politique quotidienne, Sans Partis pris, avec au menu ce jeudi : l’électorat d’Emmanuel Macron et les derniers sondages en Nouvelle-Aquitaine et dans le Grand Est.

Pour commencer cette édition, la diplomatie mondiale bouleversée. Il devait être isolé, malade et mourant, Vladimir Poutine devrait accueillir vendredi des dirigeants mondiaux représentant au moins 2 milliards et demi d’habitants de la planète… Pendant ce temps-là, Emmanuel Macron serre la main d’un djihadiste même pas repenti et accueille un chancelier mal élu.

Nous reviendrons d’ailleurs sur cette élection historique en Allemagne. Friedrich Merz a dû attendre un second tour pour prendre officiellement la tête du gouvernement. Un désaveu qui le poursuivra longtemps.

Et puis nous irons en Angleterre où les élections locales ont montré une nouvelle percée du souverainisme. Le parti Reform UK de Nigel Farage est sorti grand vainqueur du scrutin.