Bienvenue dans ce nouvel épisode du Samedi Politique ! Après le 16ème sommet des BRICS organisé à Kazan en Russie, les Occidentaux se rendent compte malgré eux que le monde est en train de changer. Entre ingérence, sanctions et double-standard, les injonctions dictées par les Etats-Unis ont fini par pousser toute une partie du globe à s’en émanciper.

Alors que le monde choisissait une nouvelle direction, les médias occidentaux et particulièrement la presse française a tenté de faire l’impasse sur l’événement qui réunissait les dirigeants d’une petite moitié de la population mondiale.

Après trois jours de discussions sous des formats variés, du tête à tête aux séances plénières, les fondateurs des BRICS et leurs partenaires ont livré une feuille de route finale dont les conclusions sont claires : l’Occident ne dictera plus l’avenir du monde. Une véritable bascule sur l’échiquier mondial dans laquelle le vieux continent, toujours sous le joug américain, peinera à retrouver une place avantageuse.

Pascal Mas, géopolitologue, spécialiste de la Russie et représentant en France du Tatarstan, une République russe à majorité musulmane, nous livre des clés de compréhension d’un nouvel ordre planétaire peu à peu en train de se dessiner.

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Depuis la dernière dissolution, nombreux sont ceux à déclarer que la France est ingouvernable. Sans majorité claire, la marge manœuvre des gouvernements successifs se mesure au gré des compromissions des uns et des autres.

Le gouvernement de Sébastien Lecornu II repose ainsi sur un accord tacite avec les socialistes dépourvus de chef charismatique quant à une suspension de la réforme des retraites. Une disposition qu’Emmanuel Macron a lui-même mis en péril depuis la Slovénie, comme pour ajouter de l’huile sur le feu... son sport favori.

Dans ce contexte, le politologue et essayiste Pierre-Yves Rougeyron, président du Cercle Aristote (https://cerclearistote.fr/), nous livre son analyse au scalpel du paysage politique français et des manipulations médiatiques à prévoir pour imposer de nouveaux candidats dans le jeu électoral.

Il évoque également la fameuse "menace russe" permettant à la fois d’agiter les peurs pour détourner l’attention des Français et avancer vers des projets de Défense européenne et de contrôle des populations.