Zooms
Zoom - Jean-Frédéric Poisson - Traité sur les pandémies de l'OMS : vers un risque totalitaire ?
Un nouveau Traité sur les pandémies, pour quoi faire ? L'OMS a adopté ce texte en négociation depuis 3 ans le mardi 20 mai lors de l’Assemblée mondiale de la santé. Dans son ouvrage "OMS l'overdose : Pour que la France s'en sorte, faut-il en sortir ?", Jean-Frédéric Poisson, président de VIA - Parti chrétien-démocrate, dénonce les nouveaux pouvoirs et moyens que ce traité donne à l'organisation internationale. En effet, l'OMS passe d'un statut consultatif à un statut d'autorité et pourra contraindre les nations en cas de pandémie. Justement, une nouvelle définition des pandémies permettra à l'OMS de déclarer l'urgence sanitaire de portée mondiale même en cas de "risque théorique non forcément mortel". En matière de stratégie vaccinale, l'OMS aura le pouvoir de décider du bienfait d'un vaccin pour l'imposer à tous, en lien avec ses sponsors privés comme la Fondation Bill & Melinda Gates. Un volet du traité permettra à l'OMS un partage des informations concernant les populations, pouvant ainsi restreindre leur liberté de circulation et d'expression...
Les parties prenantes ont maintenant 18 mois pour mener leur processus démocratique interne. Quelle est la position de l'exécutif français sur ce cas avéré de mépris de la souveraineté française ?
Zoom - André Perrin : Wokisme : les contorsions du progressisme
Parler du wokisme, c’est s’exposer immanquablement à l’objection selon laquelle on parle de quelque chose qui n’existe pas : "Le wokisme n’existe pas", c’est une "obsession française", selon le journal Le Monde, une "chimère".
Woke et wokisme rejoignent ainsi au rayon des choses inexistantes la théorie du genre, le politiquement correct, l’islamo-gauchisme. En revanche, l’extrême-droite et la "fachosphère" existent bel et bien.
Dans son ouvrage "Paradoxes de la pensée progressiste", le philosophe André Perrin montre que cette sélectivité est le signe parfait des idéologues dont l’une des plus profondes convictions est qu’on peut changer les choses en changeant les mots, et ils s’y emploient en tentant d’imposer aux autres leur novlangue. L'auteur dresse un état des lieux et fait réfléchir savoureusement en pointant les multiples contradictions des idéologues qu’on peut quotidiennement voir et entendre en écoutant la radio publique et en lisant la "bonne presse".
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