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Zoom - Louis-Henri de La Rochefoucauld : L’amour moderne : trahisons, secrets et coulisses du showbizz
Lauréat du prestigieux Prix Interallié 2025, Louis-Henri de La Rochefoucauld avec son nouveau roman "L’amour moderne" est consacré comme l’un des grands moralistes de notre temps, dans la lignée de son illustre ancêtre François de La Rochefoucauld. Derrière les façades impeccables du XVIᵉ arrondissement, l’auteur met à nu les blessures cachées d’un monde privilégié, entre apparences sociales, ambitions étouffées et drames intimes. Inspiré d’un fait divers réel – le meurtre d’une famille dans un milieu jésuite et bourgeois – le roman explore la culpabilité et le vernis fragile de la réussite. Ivan, dramaturge désabusé, Albane, comédienne retirée, et Michel, producteur cynique, forment un trio amoureux où désir, hypocrisie et solitude se confondent. Dans cette comédie humaine moderne, l’amour devient un miroir des élites, un théâtre où les sentiments jouent contre les conventions. Louis-Henri de La Rochefoucauld signe un vaudeville noir, d’une ironie raffinée, qui mêle Chateaubriand, Balzac et Hergé. À travers une prose élégante et cruelle, il interroge notre époque, sa superficialité, son narcissisme et sa peur du vide. "L’Amour moderne" : un roman sur les passions, les fantômes et la décadence douce de ceux qui croient tout avoir. Certainement l’un des meilleurs livres de cet automne !
Zoom Exclusif : Bruno Guillot : "J’ai exécré la société occidentale !"
"Adieu Soulayman" est plus qu’un livre : c’est une traversée. Celle d’un jeune Belge, né dans le vide spirituel et identitaire de l’Europe actuel, qui devient imam salafiste avant de tout quitter pour retrouver sa voie. Bruno Guillot raconte comment l’appel de Dieu s’est confondu, dans sa jeunesse, avec la séduction d’une idéologie totalisante. De Charleroi à Médine, de la ferveur à la peur, il dévoile de l’intérieur les mécanismes de sa radicalisation salafiste, de son rôle de prédicateur. Son témoignage, sans haine ni rancune, mais glaçant, explore les zones grises : l’aspiration à la pureté, la quête d’appartenance, le besoin d’absolu.
Puis vient la rupture : le doute, la désillusion, la fin des certitudes. À travers son récit, c’est tout un monde qui se dévoile - celui de jeunes Européens désorientés, vulnérables aux certitudes du fanatisme. Mais c’est aussi l’histoire d’une résurrection : celle d’un homme qui choisit la conscience plutôt que la soumission. Aujourd’hui, Bruno Guillot parle avec lucidité de ce qu’il fut, de ce qu’il a cru, et de ce qu’il veut transmettre.
Adieu Soulayman, c’est le cri d’un converti à rebours, un appel à rallumer la lumière du monde. Un témoignage nécessaire pour comprendre notre temps. On ne sort pas indemne de ce voyage au cœur de l’Islam radical.
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