Zooms

Zoom - Jean-Pierre Maugendre - François : le pape de l'exclusion ?

Publiée le 21/07/2021
Jean-Pierre Maugendre, président de Renaissance Catholique, est avec Guillaume de Thieulloy, l'animateur de l'émission religieuse de TVLibertés "Terres de Mission". Par le motu proprio Tradionis Custodes, le pape François a aboli tous les efforts de son prédécesseur Benoît XVI pour permettre la célébration de la messe traditionnelle et l'usage du missel de 1962. Pourquoi une mesure d'une telle dureté de la part d'un pape dont le moins que l'on puisse dire est que les chantiers qui devraient mobiliser toute son énergie ne manquent pas ? Jean-Pierre Maugendre apporte des réponses précises et répond aux risques réels de division de l'Eglise. Au-delà de l'explication du motu proprio, un témoignage sans amertume, ni révolte, malgré le sentiment de trahison que vivent les prêtres et les laïcs, attachés à la liturgie traditionnelle qui ont fait confiance à la liberté promise par les autorités romaines. Ils n'imaginaient pas que cette liberté pourrait s'apparenter à celle de l'Indien dans sa réserve...

Zoom - André Bonnet : Les preuves de la trahison démocratique

Publiée le 13/05/2025

Avec "Les preuves de la trahison démocratique", André Bonnet, maître en philosophie et avocat de talent, balance un pavé dans la mare européenne. Juriste et ancien magistrat, il démonte méthodiquement ce qu’il appelle une “fraude démocratique d’État” : le rejet du traité constitutionnel européen par référendum en 2005, piétiné trois ans plus tard par la ratification parlementaire du traité de Lisbonne. Même texte, nouvelle étiquette, et cette fois sans demander l’avis du peuple. Pour André Bonnet, c’est clair : le pouvoir a contourné la souveraineté populaire, trahi le vote des Français, et brisé la confiance démocratique.

Son livre est un acte d’accusation, mais aussi un appel à la reconquête civique. Il pose la question : peut-on encore parler de démocratie quand le "non" du peuple est effacé par un "oui" du Parlement ? L’essai interpelle autant les souverainistes que les démocrates exigeants. Il plaide aussi, avec rigueur, pour un retour au référendum et pour une sortie assumée du traité de Lisbonne.