Zooms
Zoom - Arnaud Folch : L’Histoire interdite ou les vérités dérangeantes
Le troisième opus de "Histoire Interdite" sort dans les kiosques et poursuit la série à succès de ces numéros hors-série de Valeurs Actuelles dirigés par Arnaud Folch. Pourquoi un tel engouement pour L’Histoire interdite ? Parce que les Français veulent enfin une histoire sans œillères, affranchie du prêt-à-penser, capable d’éclairer notre présent à la lumière du passé.
Le troisième volume du numéro hors-série de Valeurs actuelles prolonge l’enquête. Fruit d’un an de recherches, il révèle les zones d’ombre de notre histoire nationale : les massacres du FLN, Melouza, l’Oradour algérien, la rencontre taboue de De Gaulle et Franco, les sabotages perpétrés par le PCF, les secrets de la guerre Balladur-Chirac ou encore les dernières heures de Pierre Laval ou le mythe de la bataille de Valmy.
À contre-courant d’une historiographie officielle dominée par l’idéologie, la censure et l’oubli, "L’Histoire interdite" redonne sa place à la vérité, parfois et même souvent dérangeante. Car rien n’est plus dangereux que le mensonge des vainqueurs. "Rien de plus faux, de plus faussaire que l’histoire officielle", écrit Arnaud Folch. Et c’est pour cela que ce hors-série, numéro après numéro, séduit un lectorat toujours plus large : celui de ceux qui veulent comprendre avant de juger, apprendre avant d’oublier.
Zoom - Samuel Furfari : La vérité sur les COP : 30 ans d'illusions
Les COP organisées par l'ONU sont-elles utiles ? Leur objectif est de limiter l'augmentation des émissions de gaz à effet de serre. Seulement voilà... après des milliards dépensés, les émissions mondiales de CO2 ont augmenté de 65% depuis 1992. Samuel Furfari, ingénieur et docteur en sciences appliquées, qui publie "La vérité sur les COP : trente ans d'illusions", appelle à leur arrêt pur et simple. Il dénonce une histoire d'idéologie teintée de gouvernance mondiale dont le but est le contrôle insidieux de nos modes de vie. Présent à notamment à la COP 21 organisée à Paris sous le mandat de François Hollande en 2015 et sous les bons hospices de Laurent Fabius, Samuel Furfari constate qu'à part l'UE, aucun pays n'a respecté ses engagements. Le Pacte vert qui sera mis en place pour répondre aux accords de Paris coûtera la bagatelle de 1 300 milliards d'euros par an aux contribuables européens jusqu'en 2030. Et pour quel résultat ? Une perte de compétitivité et de prospérité qui menace toujours plus notre continent. Un constat glaçant pour un entretien passionnant !
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