Zooms

Reportage au cœur de la Pologne patriote avec TV Libertés !

Publiée le 28/11/2018
Veuillez bien vouloir nous excuser pour le problème de visionnage (du à un mauvais transfert de fichier), désormais résolu. Le conflit entre Bruxelles et les pays de l’Europe centrale et orientale s’est aggravé cette année, en particulier avec le vote du Parlement européen contre la Hongrie (rapport Sargentini), mais aussi les offensives contre les gouvernements démocratiquement élus de Pologne ou encore de Roumanie. Le 11 novembre 2018, la Pologne a célébré le centenaire de son indépendance retrouvée en 1918. Cette célébration est marquée par une grande marche patriotique que la mairie libérale (PO) de Varsovie a tenté d’interdire. Sans succès : cette année, la Marche de l’Indépendance a rassemblé 300.000 personnes au lieu des 60.000 de l’an dernier, avec le soutien du président et du gouvernement polonais. Comme l’an dernier, TV Libertés était présent en Pologne durant ces célébrations et a interrogé de hautes personnalités du pouvoir polonais pour qu’ils expriment leur opinion sur les questions d’identité, de catholicité ou le conflit entre Varsovie et Bruxelles. Un reportage de Ferenc Almassy et Olivier Bault produit en partenariat avec le Visegrád Post et l’hebdomadaire polonais Do Rzeczy. Retrouvez les entretiens complets qui ont servi à la réalisation de ce reportage :




Zoom - André Perrin : Wokisme : les contorsions du progressisme

Publiée le 16/10/2025

Parler du wokisme, c’est s’exposer immanquablement à l’objection selon laquelle on parle de quelque chose qui n’existe pas : "Le wokisme n’existe pas", c’est une "obsession française", selon le journal Le Monde, une "chimère".

Woke et wokisme rejoignent ainsi au rayon des choses inexistantes la théorie du genre, le politiquement correct, l’islamo-gauchisme. En revanche, l’extrême-droite et la "fachosphère" existent bel et bien.

Dans son ouvrage "Paradoxes de la pensée progressiste", le philosophe André Perrin montre que cette sélectivité est le signe parfait des idéologues dont l’une des plus profondes convictions est qu’on peut changer les choses en changeant les mots, et ils s’y emploient en tentant d’imposer aux autres leur novlangue. L'auteur dresse un état des lieux et fait réfléchir savoureusement en pointant les multiples contradictions des idéologues qu’on peut quotidiennement voir et entendre en écoutant la radio publique et en lisant la "bonne presse".