Bistro Libertés

Bistro Libertés avec Alain Juillet - Un patron du renseignement se met à table

Publiée le 29/05/2024

Alain Juillet a consacré sa vie au service de l’Etat. Un Etat pourtant qui ne lui pardonnera pas ses prises de positions sur la Russie. C’est donc un homme courageux que nous avons ce soir.

Il a étudié puis enseigné dans les plus prestigieuses grandes écoles. Mais ce n’est pas un pur esprit : il a été cinq ans officier au sein des commandos du service Action du contre-espionnage français.

Universitaire, espionnage, défense nationale, cela suffit pour remplir la vie d’un homme accompli… et bien non, pas pour lui. Il a aussi donné son énergie pour redresser des entreprises en grandes difficultés comme Suchard ou Bongrain dont dépendent 22 000 producteurs.

 

Après un tour de l’actualité (Russie, Israël), ce "Bistro Libertés" s’attaque à deux sujets brûlants :

1) Nouvelle-Calédonie, Mayotte, Guyane : la France est-elle en train de perdre pied dans ses Outre-mer ?

Que faut-il penser des accusations d’ingérence étrangère ? Comment rétablir l’ordre républicain ? Quelle politique pour nos Outre-mer ?

 

2) Affaire Mohamed Amra : preuve de la faillite de l’État ?

La France est-elle devenue un eldorado pour le grand banditisme ? Comment rétablir l’autorité de l’Etat ?

Les révélations choc de Patrick Sébastien à Bistro Libertés

Publiée le 15/10/2025

L’invité spécial d’Eric Morillot est Patrick Sébastien, un monstre sacré de l’audiovisuel. Il a tout fait avec succès : imitateur, humoriste, animateur, compositeur et chanteur, producteur, réalisateur et metteur en scène. Il fera les plus grosses audiences de TF1 et France 2. Il sera licencié par Delphine Ernotte, la présidente de France Télévisions qui trouvait qu’il y avait trop de mâles blancs de plus de 50 ans dans son groupe. Il aime le peuple et le peuple lui rend bien. Populaire auprès des Français, on l’accuse de populisme lorsqu’il interprète des chansons grivoises.

Au programme de cet épisode :

Krach politique : qui sont les coupables ?

La cécité du pouvoir face au peuple en colère ?