Bistro Libertés

Bistro Libertés : Les raisons cachées de la guerre selon Alexandre del Valle

Publiée le 24/01/2024

Alexandre del Valle est l’invité spécial d’Éric Morillot. C’est un géopoliticien de renom qui après deux troisièmes cycles et un doctorat deviendra un professeur d’université avec une habilitation à diriger des recherches (HDR). C’est aussi un homme de lettres. On peut le lire, entre autres, au Figaro, Figaro magazine, Le Spectacle du monde, Israël Magazine, France-Soir, Atlantico, FigaroVox, Valeurs actuelles et bien d’autres revues encore. Un homme de lettre encore, aux travers de la quinzaine de livres qu’il signe ou co-signe. Beaucoup portent sur le choc des civilisations chrétiennes et musulmanes.

Qui mieux que lui pouvait nous éclairer sur les deux conflits armés du moment qui embrasent le monde.

Les deux thèmes de ce Bistro Libertés :

1)⁠ ⁠Israël/Hamas : Un conflit sans fin ? Que faut-il penser de l’évolution du conflit ? Faut-il l’analyser comme un choc de civilisations ? Quelles sont les répercussions sur la géopolitique régionale et mondiale ?

2)⁠ ⁠⁠Guerre en Ukraine : Fin de partie ? 2024 sera-t-elle l’année du dénouement du conflit russo-ukrainien ? La Russie est-elle en position de force ? Comment envisager l’après-guerre ?

Bistro Libertés - Steven Gunnell : de chanteur à cinéaste

Publiée le 24/12/2025

Pour cet épisode de "Bistro Libertés", Éric Morillot a invité le couple de réalisateurs du film "Sacré Cœur : son règne n’a pas de fin", dont la campagne publicitaire a été censurée par la RATP et la SNCF.
Toute la gauche wokiste est vent debout contre ce film dénoncé comme "prosélyte", qui porte sur les apparitions de Jésus à sainte Marguerite-Marie Alacoque, il y a 350 ans. Il s'ensuit une déprogrammation du film dans certaines salles. Cela n’empêche pas le film de franchir en un mois la barre des 500 000 téléspectateurs.
 
Lui est l’ancien chanteur du "boys band" Alliage. Avec des ventes qui dépassent à chaque fois les 500 000 unités, le groupe connaît le succès de 1997 à 1999. Puis arrive son "bug" de l’an 2000 avec un passage du statut de star à celui d’ange déchu avec à la clé la dépendance à l’alcool, la dépression et la misère. Un tournant tout relatif puisqu’il se convertit en 2000 dans l’église sainte Rita de Nice. Il est vrai que sainte Rita est la patronne des causes désespérées.
Six ans plus tard, Robert Hossein lui confie le rôle de Jésus dans "Ben Hur", puis celui de Jean-Paul II dans "N’ayez pas peur". Au même moment, Sabrina se remet d’une rupture amoureuse très difficile. Ils ont un coup de foudre et se marient dans la vie privée mais aussi dans le travail puisqu’ils fondent une société de production et réalisent des films documentaires pour KTO.

Avec Frigide Barjot, Charbel Lakis et Béatrice Rosen, ils évoquent la cathophobie en Europe.
Chaque année, la même scène se répète : crèches de Noël interdites, menaces islamistes et pressions wokistes… Dans une France culturellement catholique, les chrétiens se retrouvent de plus en plus ciblés, placés au cœur des tensions, jusqu’à devenir un marqueur idéologique que certains veulent effacer. Au même moment, le film "Sacré Cœur" explose les compteurs !