Bistro Libertés
Rougeyron à Bistro Libertés : quel retour !
L’invité spécial d’Eric Morillot est le politologue et essayiste Pierre-Yves Rougeyron. Bardé de diplômes, ce gaulliste de droite est un habitué de TVL. Il a été proche de Paul-Marie Coûteaux, Eric Zemmour, Nicolas Dupont-Aignan et Florian Philippot. Il a écrit un livre sur un "souverainicide" : la loi du 3 janvier 73 qui dépouille la banque de France. On retiendra également "Pourquoi Combattre" qui est le fruit de 10 ans de réflexion. Il a créé et dirige la revue Perspectives Libres dont le niveau force le respect. C’est le président du Cercle Aristote consacré à l’histoire et la pensée politique française. On le retrouve sur Front Populaire de Michel Onfray, sa chaîne YouTube, Valeurs actuelles ou CNews.
Au programme de cet épisode :
1) Faire face à la faillite : comment relever le défi de la dette ?
La droite au pouvoir doit-elle augmenter les impôts ?
Comment réduire les dépenses publiques ?
Immigration, assistanat, transition écologique : quelles économies pour redresser le pays ?
2) Élections américaines, dernière ligne droite : Donald Trump peut-il remporter les élections ?
Donald Trump a-t-il tiré les leçons de 2020 ?
Quel bilan faut-il faire de cette campagne pleine de rebondissements ?
Quel est le meilleur candidat pour la France et l’Europe ?
Bistro Libertés - Steven Gunnell : de chanteur à cinéaste
Pour cet épisode de "Bistro Libertés", Éric Morillot a invité le couple de réalisateurs du film "Sacré Cœur : son règne n’a pas de fin", dont la campagne publicitaire a été censurée par la RATP et la SNCF.
Toute la gauche wokiste est vent debout contre ce film dénoncé comme "prosélyte", qui porte sur les apparitions de Jésus à sainte Marguerite-Marie Alacoque, il y a 350 ans. Il s'ensuit une déprogrammation du film dans certaines salles. Cela n’empêche pas le film de franchir en un mois la barre des 500 000 téléspectateurs.
Lui est l’ancien chanteur du "boys band" Alliage. Avec des ventes qui dépassent à chaque fois les 500 000 unités, le groupe connaît le succès de 1997 à 1999. Puis arrive son "bug" de l’an 2000 avec un passage du statut de star à celui d’ange déchu avec à la clé la dépendance à l’alcool, la dépression et la misère. Un tournant tout relatif puisqu’il se convertit en 2000 dans l’église sainte Rita de Nice. Il est vrai que sainte Rita est la patronne des causes désespérées.
Six ans plus tard, Robert Hossein lui confie le rôle de Jésus dans "Ben Hur", puis celui de Jean-Paul II dans "N’ayez pas peur". Au même moment, Sabrina se remet d’une rupture amoureuse très difficile. Ils ont un coup de foudre et se marient dans la vie privée mais aussi dans le travail puisqu’ils fondent une société de production et réalisent des films documentaires pour KTO.
Avec Frigide Barjot, Charbel Lakis et Béatrice Rosen, ils évoquent la cathophobie en Europe.
Chaque année, la même scène se répète : crèches de Noël interdites, menaces islamistes et pressions wokistes… Dans une France culturellement catholique, les chrétiens se retrouvent de plus en plus ciblés, placés au cœur des tensions, jusqu’à devenir un marqueur idéologique que certains veulent effacer. Au même moment, le film "Sacré Cœur" explose les compteurs !
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