Zooms

Zoom - Nicolas d’Estienne d’Orves (NéO) : Quand l’identité devient un piège mortel

Publiée le 21/03/2025

Nicolas d’Estienne d’Orves (sous le nom de NéO) signe un roman envoûtant et inquiétant, où réalité et illusion se confondent : "L’Ile d’orgueil".

Et si vous pouviez échanger votre vie contre celle d’un autre ? Antoine Roquenaud, écrivain raté, accepte le pacte que lui propose Marc Haubergier, un auteur à succès. Il prend sa place, son nom… et s’exile sur une île bretonne battue par les vents. Mais ce huis clos insulaire cache de lourds secrets : une femme distante, un majordome silencieux et le spectre d’un enfant noyé qui hante la demeure.

Ce thriller psychologique trouble et oppressant inaugure une série autour des sept péchés capitaux. Pourquoi l’orgueil en premier ? Parce qu’il aveugle, il trompe, il pousse à croire que l’on peut voler un destin… sans en payer le prix. Mais jusqu’où peut-on aller avant que la supercherie ne se retourne contre soi ?

Nicolas d’Estienne d’Orves publie le roman de ce printemps 2025. Osez l’expérience… si vous pensez pouvoir en ressortir indemne.

Zoom - Xavier Moreau : Je conteste totalement une "iranisation" de l’économie russe !

Publiée le 26/11/2025

Xavier Moreau répond au général Mandon ! Analyste politico-stratégique et homme d’affaires installé à Moscou depuis plus de vingt-cinq ans, Xavier Moreau est le fondateur du site d’analyse Stratpol. Ancien militaire et spécialiste de la Russie, il réagit aux récents propos du général Mandon, chef d’état-major des armées, qui a alerté les Français sur le manque de force d’âme nécessaire, selon lui, pour accepter les sacrifices que pourrait exiger la défense nationale — allant jusqu’à évoquer l’idée d’"accepter de perdre nos enfants".

Xavier Moreau répond également à l’accusation selon laquelle la Russie se préparerait à agresser un pays de l’OTAN dans les trois ou quatre ans. Le fondateur de Stratpol revient longuement sur les pourparlers de paix en cours à Genève, sur l’attitude des Européens et sur la progression continue de l’armée russe le long des mille kilomètres de front, particulièrement dans l’est de l’Ukraine.

Enfin, il répond aux analyses de l’IFRI (Institut français des relations internationales), qui évoque une "iranisation" de l’économie russe - c’est-à-dire un modèle économique adoptant des caractéristiques proches de celle de l’Iran : produits obsolètes, difficultés d’innovation et orientation massive vers l’effort de guerre.